Devant les songes creux, deux portes il existe
Homère (Odyssée)
Passage sous tes reins
Si ce n’est pas de la folie ce-
Là lui ressemble, je le crains.
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J’aime caresser ton corps lisse,
Le prendre est toujours un délice
Et mon plaisir est souverain
Que je le prenne en ton calice
Orné de roses et de lys
Ou que, pas sage, sous tes reins,
Je découvre un havre complice
Dans le passage souterrain,
Profond et somptueux écrin
Qui, déjà, cède à mon caprice.
Te prendre est toujours un délice,
Que je vénère ton calice
Ou le passage sous tes reins.
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Si ce n’est pas de la folie ce-
Là lui ressemble, je le crains. |